Publié par GE

L'interdiction est une obligation morale, sanitaire et environnementale.

Le gouvernement et l'Europe doivent prendre leurs responsabilités !

Le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), agence de l'OMS, vient de rendre public ses recherches sur le pouvoir cancérogène de certains pesticides. Evidemment la principale molécule composant le Roundup, le glyphosate, est concernée. Il s'agit aussi du malathion, utilisé en Guyane dans le cadre de la lutte contre le chikungunya.

Nous savions déjà cela. Aujourd'hui nous avons la preuve scientifique de la nocivité des pesticides sur l'environnement et la santé humaine. Les agriculteurs et jardiniers sont bien sûr les premiers impactés. Mais n'oublions pas les nappes phréatiques, l'air environnant et surtout les nombreux OGM (résistants au Roundup et DONC imprégnés de cette substance cancérogène) qui sont ingérés, le plus souvent, à l'insu des populations.

Quand est-ce que les gouvernements et l'Union Européenne décideront de stopper net l'usage des pesticides ? Il y a urgence à agir !

Sous quel prétexte que ce soit, le lobby de l'agrochimie ne devrait pas avoir le droit de commercialiser ses substances dangereuses. L'enjeu sanitaire et environnemental doit guider l'action publique.

Yves PIETRASANTA
Président
Génération Ecologie

ROUNDUP CANCÉROGÈNE
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